CASINO DE LA PLAGE - Casino - Soulac-sur-Mer (33780)

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"Si je veux voir tout le Québec d'un coup, je fais quoi comme route?"

Suite à mon post sur "Le roadtrip parfait de l'Outaouais", j'ai reçu une demande spéciale.

Que serait le trajet pour voir TOUT LE QUÉBEC d'un coup en roadtrip?

Bien entendu, c'est impossible de TOUT voir d'un coup. De plus, je crois qu'un trajet comme celui-là nécessiterait 2 à 3 mois en prenant le temps de s'arrêter dans les endroits clés typiques de chez nous. En passant, je n'ai pas choisi des endroits au hasard sur la liste, laissez-moi vous expliquer mon raisonnement...
PS: Je sais que ce n'est pas la saison hahaha!
PS: Si vous n'aimez pas le gros bois, ben sorry... c'est pas le bon post pour vous.
La grande traversée du pays bleu

ÉTAPE 1 - L'Abitibi-Témiscamingue, Farwest québécois

Vous allez me dire "Qu'est-ce qu'il y a à faire en Abitibi?". Tout est à faire là-bas... surtout si vous aimez le gros bois de FOU! J'ai fait la jungle au Pérou et en Colombie, je suis allé dans le nord au BC et j'ai fait le Sahara... NÉANMOINS, cette région est la place la plus "wild" que j'ai visité sur le globe. Vous voulez tester l'idée? Allez chercher des morilles au printemps ou des bleuets sauvages en août et vous verrez.
C'est ce que j'aime de cette région. C'est juste là dans ta face et c'est comme un retour aux sources pour n'importe qui qui pourrait avoir envie de vivre l'aventure dans des forêts titanesques.

Étape 2 - Les Laurentides en général

Les Laurentides, c'est "malade ben raide". Des montagnes, des rivières, des lacs, des ressorts à Montréalais, un casino, des touristes... Sans farce. Si j'avais UNE place (avant tout) à faire visiter au Québec proche de Montréal, ça serait les Laurentides. La région est riche en activités de toutes sortes.
En plus, je vous dirais qu'il y a un mélange intéressant où le Québec d’antan et le Québec contemporain se rencontre.

Étape 3 - La métropole

On pensera ce qu'on veut de Montréal, sans cette ville, le Québec ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui. De plus, c'est probablement l'une des plus belles grosses villes du globe. C'est propre et le climat social y est confortable. Je sais que l'architecture n'est pas toujours au top (en me fiant à INFOMAN). Cependant, notre métropole a mis le pays sur la "map". Ce n'est pas tout le monde sur le globe qui connait Ottawa ou bien Vancouver... mais Montréal, ça, tout le monde connait et on le sait pourquoi.
Amateurs et amatrices de paysages urbains, vous allez en avoir pour votre cash là-bas.

Étape 4 - La route du vin et les cantons de l'Est

Amateurs et amatrices de bouffe du terroir, vous êtes servis. Le garde mangé du Québec est juste là sous la Métropole. C'est notamment un endroit de prédilection pour le vin en Amérique et il y a un parcours d'environ 70 km à faire avec les meilleures bouteilles de notre pays bleu. En plus, à l'est de Sherbrooke, il y a la route des sommets qui est vraiment à faire si vous êtes des amateurs de montagnes dans les 1000 m et plus. De plus, les anglophones ont laissés leur trace là-bas et cela s'est mélangé à l'atmosphère d'aujourd'hui laissant derrière une région bien particulière à visiter.

Étape 5 - Remonter le Saint-Maurice

Tout le monde connait La Tuque... Toutefois, qui peut dire y avoir mis les pieds? Un des aspects intéressant de la Mauricie est son sous développement. Il semblerait que pendant un très long moment dans l'histoire de cette région, les berges du Saint Maurice appartenaient à un américain richissime qui a bloqué tout développement sur le bord de l'eau.
Ceci a eut pour effet de laisser le nord de la Mauricie à lui même pendant des dizaines d'années. Aujourd'hui, ce p'tit joyau commence a se développer et très rapidement. Vous ne pouvez pas mourir avant d'avoir fait la route entre Grand Mère et La Tuque en s'arrêtant au pittoresque village de Grandes-Piles (le nom provenant du fait que les bûcherons empilant le bois à cet endroit dans le temps).

Étape 6 - Quoi une mer intérieur?? Non, c'est le lac Saint-Jean "là là"

Bienvenue sur la terre des bleuets, des tremblay, des "là-là" et des violoneux. Cette région au nord a su se développer contre toutes attentes "super loin" de tout. Par contre, une fois sur place, on peut facilement comprendre pourquoi les locaux y sont si bien. Le Saguenay Lac Saint-Jean est une région que je n'ai pas assez vu. Tout ce qui me vient à l'esprit c'est le chocolat aux bleuets, des gens fort sympathique et ce lac immense à perte de vue.
En plus, je peux vous affirmer que les meilleures poutines de la province sont là-bas. Désolé gens de Drummond et Victo... Vous pouvez maintenant me lancer vos pierres.

Étape 7 - Qui dit Québec, dit Québec

Aller au Québec sans visiter la ville de Québec serait l'équivalent de ne pas manger de tacos au Mexique. C'est un fragment de notre histoire et en plus, c'est très beau. De plus, la ville de Québec est bien entouré avec l'île d'Orléans, le parc de la Jacques Cartier et le fleuve. Il y a aussi de très bons musées et honnêtement... les mots me manquent pour en parler.
Visiter la citadelle devrait être votre première priorité une fois sur place. Si vous avez le temps, allez jeter un oeil à Charlevoix qui est franchement magnifique. Malheureusement, je dois laisser la région en dehors de ce trajet.

Étape 8 - Remonter le fleuve jusqu'à Percé

Vous voulez de la nature? Imaginez la nature du grand nord rencontrer l'Atlantique. La péninsule est votre endroit de prédilection. En plus, si vous avez à imaginer des hippies spaces sur la plage, ben la Gaspésie vous attend. De plus, vous avez en chemin le Mont Jacques-Cartier qui est la plus haute montagne du Québec. Bon, je sais que ce n'est pas l’Everest, mais je m'en bats les couilles, c'est beau en T*b*rn*k se rendre en haut avec des vues orgasmiques de la mer et des forêts.
^(\Toutefois, je dois vous avouer que j'ai souvent laissé faire la Gaspésie pour aller à la péninsule acadienne, la terre de mes aïeux.)*

En conclusion vous allez faire 2300 km de route pour voir à peine 1/5 du territoire Québécois. Bonne chance!

Bonne année 2020!
submitted by gabseo to Quebec [link] [comments]

La fille à son papa

Ceci est l’histoire de ma mort et de mon héritage.
Mais commençons tout d’abord par des présentations et un bref historique de mon existence. Je m’appelle Mike, je tue des gens, et je suis payé pour ça.
J’ignore si mon métier porte un nom exacte. Tuer des gens pour le gouvernement et assurer ainsi le maintient d’un ordre discutable dans le monde, je ne pense pas que ce soit réellement une profession reconnue.
Et si je fais ce travail, c’est parce qu’à l’âge de 15 ans, une armée de psychiatre a décelé chez moi une personnalité sociopathique susceptible de faire de moi un dangereux psychopathe. Ce qu’ils ont dit, c’est que j’étais inapte à témoigner de l’empathie, de la compassion et des émotions complexes. Ce que j’ai compris, c’est qu’il ne me manquait pas qu’une case, mais un échiquier en entier.
Direction l’hôpital psychiatrique où des docteurs payés un demi million le mois se sont demandés quel travail conviendrait à un individu sans attributs moraux. Ils m’ont donc envoyés à l’armée, là où, selon eux, mon manque d’empathie servirait peut-être à quelque chose.
Je n’y suis resté que deux mois. Incapable de travailler en équipe mais très bon viseur et d’une forme quasi athlétique, j’ai été muté dans un autre secteur. Un type en costume trois pièce est un jour venu me voir et m’a demandé de signer les documents qu’il me tendait. Ces derniers rendaient mon identité inexistante, ma vie sans valeur et assuraient ma formation en tant que tireur d’élite, empoisonneur et assassin. Ils m’ont formé à tirer au fusil d’assaut, au pistolet, au fusil à pompe, au bazooka, à manier un couteau, une machette, un katana, à me rendre discret comme une ombre dans la nuit. J’ai des connaissances très détaillées en anatomie humaine et en biochimie des poisons.
Puis, ils m’ont envoyé sur le terrain. J’avais des missions d’exécution aux quatre coins du monde. J’ai abattu des trafiquants de drogue au Mexique, des néonazis en Autriche, des islamistes radicaux en Afghanistan, des économistes en Amérique, un biochimiste en Belgique, un milliardaire en Chine, un mac en Malaisie et un accordéoniste en France. J’atterrissais dans ledit pays, j’exécutais la personne selon des indications précises et je reprenais l’avion pour rentrer au pays pour y subir une évaluation psychologique et attendre de nouvelles directives.
Et puis, un soir, alors que je venais d’embrocher un bureaucrate sur sa brochette de poulet, j’ai rencontré cette femme dans un bar. J’ai couché avec elle et elle m’a laissé son numéro de téléphone en précisant que si je revenais dans le coin, il suffisait que je l’appelle. Je ne l’ai pas revue durant un an et deux mois. Et quand je l’ai rappelée, elle m’a dit que j’étais papa d’une petite fille.
Ah. D’accord.
Puisque j’étais psychologiquement inapte à fonder une famille et que, de toute façon, cela m’était interdit par mes contrats de travail, je lui envoyais de l’argent mensuellement pour que ma fille ait une vie décente et je venais de temps en temps la voir pour prendre de ses nouvelles et passer du temps avec elle.
Ce qui s’est passé ensuite était très étrange.
J’ai éprouvé des sentiments.
En emmenant ma fille au musée, en lui lisant des histoires et en l’écoutant me raconter des choses sur la vie des chevaux, j’ai éprouvé des sentiments. J’allais la voir tous les samedis et tous les lundis, je ne pensais qu’au samedi suivant.
Les choses insipides de la vie avaient un goût sucré avec elle. Les choses insignifiantes qu’elle me racontaient étaient d’un intérêt capital. La vie des manchots étaient soudainement la chose la plus extraordinaire dont j’ai entendu parlé.
J’ignorais et j’ignore encore ce qu’être un bon père signifie. Je n’ai jamais rencontré ses professeurs, ses amies d’école, jamais assisté à ses anniversaires. Je ne faisait qu’appeler sa mère d’une cabine téléphonique le vendredi soir et venir la chercher le samedi matin pour l’emmener au musée ou à la bibliothèque. On mangeait une glace dans le parc s’il faisait beau, on mangeait au restaurant le midi ou le soir. Lorsqu’il neigeait, nous faisions un bonhomme de neige.
Je prenais soins de me laver avant de venir la chercher, parce que sa mère m’avait dit qu’une enfant ne pouvait pas voir son père avec du sang sur les mains. Je ne prenais pas non plus d’arme avec moi parce qu’elle m’avait aussi dit que cela pouvait être dangereux. Je surveillais mon langage, veillant à ne pas dire de vilains mots et à ne pas lui parler des meurtres. Je faisais des efforts pour sourire.
Et puis, un jour, sa mère n’a pas répondu au téléphone. Je me suis renseigné et on m’a dit qu’elle avait fait un accident de voiture et qu’elle était morte. Ce n’était pas tant l’accident qui l’avait tué, mais plutôt la cocaïne qu’elle avait sniffé, l’héroïne qu’elle s’était injecté, le cannabis qu’elle avait fumé et l’alcool que avait ingurgité. Son organisme, fragilisé par l’accident, n’avait pas tenu le coup.
Du coup, ma fille a été placée dans un orphelinat et, comme je n’avais, officiellement, aucun lien de parenté avec elle, il m’étais interdit de la voir.
Ma vie d’avant a repris. J’ai continué à tuer des gens pour le gouvernement dans des pays clés. Le samedi, j’allais à la bibliothèque et au musée, j’empruntais des livres pour enfants et en apprenais plus sur la vie des phoques. Cependant, puisque ce n’était que le livre qui me l’apprenais et non ma fille, je ne ressentais à nouveau plus rien. Ce n’étaient que des informations vides, sans le moindre sens, que je classait avec les étapes de montage d’une arme et les dernières paroles d’une mère de famille en Angola.
Pendant huit ans, j’ai abattu des centaines de personnes et les jetant par la fenêtre, en leur injectant de l’insuline en excès, en les forçant à se tirer une balle dans la bouche ou en leur tranchant l’artère fémorale dans un marché bondé. Et puis, il y a eu cette mission à Las Vegas. De la routine, rien d’extraordinaire. Trouver un trafiquant d’arme biélorusse accro au jeu, lui renverser une boisson dessus et l’accompagner aux toilettes pour laver son costume blanc et l’étrangler avec une corde à piano.
Le problème, c’est qu’après avoir exécuter les deux premières étapes, je ne me souviens de rien. Je me suis réveillé à l’hôpital, menotté à mon lit avec des bandages couvrant des égratignures et des bleus. J’ai reçu la visite de policiers et d’un inspecteur du nom de Donald Clinton. Je ne leur ai rien dit, pas plus qu’aux infirmières et aux docteurs. Et puis, un type en costume trois pièces s’est pointé et m’a annoncé la nouvelle. À Las Vegas, j’avais tué vingt-trois personnes, dont le trafiquant d’armes biélorusse. Selon les experts, j’aurais vidé le chargeur de mon Beretta sur le trafiquant et ses sbires, puis rechargé et tiré sur d’autres personnes, puis rechargé à nouveau, tiré, rechargé et tiré jusqu’à m’effondrer sur la moquette en convulsant. Trois pistolets différents utilisés, quatre chargeurs et un total de 60 balles de 9 mm parabellum tirées en moins de cinq minutes sur vingt-trois personnes, dont cinq balles dans la tête du trafiquant.
Les policiers m’ont demandé si je me rendais compte que j’avais ôté la vie à vingt-trois personnes, mais pour moi, ce n’était qu’un chiffre. Étant incapable de me mettre à la place de qui que ce soit, je me suis contenté de hausser les épaules. Après tout, vingt-trois sur les centaines de personnes que j’ai tué pour le gouvernement, ce n’est pas grand-chose.
Un électroencéphalogramme et un scanner cérébral plus tard, on m’annonçait que j’avais une tumeur cérébrale inopérable. Symptômes : absences, hallucinations et maux de tête, le tout à ajouter à ma sociopathie.
Il vous reste entre trois semaines et trois mois à vivre en fonction de l’avancée de la tumeur.
Ah. D’accord.
La nuit suivante, comme on me l’avais appris, j’ai déboîté mon pouce et je me suis défait de mes menottes. Je suis sorti et j’ai assommé le garde qui devait m’empêcher de sortir. Nous avons échangé de vêtements et je l’ai installé à ma place dans le lit.
Mon objectif était de retrouver ma fille, le seul être qui m’ait fait ressentir quelque chose, et lui dire au revoir, mais, je ne sais pas pourquoi, la police a voulu m’en empêcher. Peut-être à cause de l’affaire du casino à Las Vegas ?
L’inspecteur Clinton était aux commandes de l’affaire, comme le disait les médias. Je savais qu’ils me chercheraient partout, alors je suis allé là où ils ne me chercheraient pas : dans leurs locaux. J’ai tendu un câble entre la porte du bureau de D. Clinton et la goupille d’une grenade incendiaire et je suis parti.
Clinton est parti aussi. Par la fenêtre. Expulsé par le souffle de la grenade.
J’ai tenté de tuer le moins de gens possible sur mon chemin afin de rester discret. Cependant, avec mes absences, je ne peux pas affirmer avec certitude que personne n’est mort compte tenu du fait que j’ai changé de modèle de pistolet et que je me suis retrouvé au volant d’une voiture de police sans avoir le souvenir de ces actions.
Je me suis arrêté en route et je suis entré dans une librairie. J’ai menacé la vendeuse de mon arme et lui ai demandé de me trouver de beaux livres sur les animaux du grand nord et les chevaux. Elle pleurait alors je lui ai dit que si elle n’en avait pas, ce n’était pas grave, que je trouverais une autre librairie, mais ça ne l’a pas consolée. Au final, puisqu’elle ne faisait rien d’autre que rester là à pleurer, je suis allé moi-même chercher lesdits ouvrages. j’ai trouvé de très beaux livres de photographies et je les ai pris. En sortant, j’ai montré quelques photos à la libraire en espérant qu’elle cesse de pleurer, mais, je ne sais pas pourquoi, ça n’a pas fonctionné.
Il faisait nuit lorsque je suis arrivé à l’orphelinat – en ayant à nouveau changé de voiture et emporté un fusil à pompe sans en avoir le souvenir. J’ai assommé l’un des gardes en lui tapant la tête contre son bureau. L’autre, je l’ai tué par réflexe alors qu’il essayait de me frapper.
J’ai cherché et trouvé la chambre où logeait ma fille. Ce n’était pas très difficile. La porte étant fermée à clef, je l’ai défoncée d’un coup de pied, je suis entré et j’ai allumé la lumière. Au total, il y avait quatre demoiselles qui dormaient dans cette chambre. J’ai jeté hors de la pièce les trois autres et je suis resté avec ma fille.
Durant toutes ces années, j’avais oublié que les enfants grandissent. Je m’attendais à trouver une petite fille de neuf ans, mais à la place, je me suis retrouvé devant une adolescente de dix-sept ans. Elle était très belle. Plus belle que sa mère. Elle ne pleurait pas, contrairement aux autres. Je lui ai donné les livres, je me suis installé avec elle sur le lit et j’ai ouvert le livre sur les animaux du grand froid. Elle souriait à mesure que je lui rappelait ce qu’elle m’avais appris sur ces êtres.
Les manchots élèvent un poussin unique, contrairement aux autres oiseaux qui pondent plusieurs œufs. Des morses flottent à la verticale, comme des bouchons, avec juste le tête sortant de l’eau. Les orques peuvent sortir de l’eau et se déplacer sur la plage pour attraper leurs proies. Les requins du Groenland ont une espérance de vie dépassant les 200 ans.
J’ai eu une absence et, lorsque j’ai repris mes esprits, j’étais assis sur le lit, avec sur mes genoux le livre sur les chevaux ouvert à la page des pure-sang arabes. Ma fille était face à moi, debout, et elle tenait mon pistolet qu’elle pointait sur moi. Son visage n’exprimait pas plus de sentiments que moi. La position de ses mains était parfaite. Ses jambes étaient juste assez écartées que pour lui assurer une bonne stabilité. Le cran d’arrêt était défait.
Elle m’a demandé si elle pouvait le garder. Je lui ai dit oui.
Elle a pressé la détente. Trois fois.
J’ai senti les balles me traverser la cage thoracique, j’ai entendu gicler mon sang sur les draps du lit et le mur de briques couvert de peinture blanche derrière moi être percé par trois fois. J’ai toussé du sang sur le livre qui est tombé au sol. Je me suis effondrer en arrière, sur le lit. Les draps buvaient mon sang, mon cœur, percé, ne battait plus.
J’ai souris, d’un sourire de sang. Les yeux fermés, les bras écartés.
J’étais fier.
Elle est bien la fille de son père.
submitted by FeedFear to HORRIFIX [link] [comments]

Regardless in french?

As far as I understand all of the following phrased translate to regardless but what's the difference in usage?
Sans ternir comdpte(Le système de commutation fonctionne dans une plage de températures élevées et sans tenir compte de la valeur du condensateur utilisé.)
Sans se soucier (Ils continuent à accroître au même taux sans se soucier.
Même ( Mais je chercherai quand même votre fils.)
Toute façon ( Mais, de toute façon, le projet de loi, dans sa globalité, est acceptable pour le Bloc québécois.)
quoi qu'il en soit ( Mais quoi qu'il en soit, je protège ma famille)
quel que soit (Les avantages des casinos en ligne augmenteront probablement votre quel que soit.)
nonobstant (Nonobstant, j'espère que tu seras gentille avec elle au dîner)
malgré tout(Mais, malgré tout, je ne peux pas m'en aller)
sans égard (En second lieu, avec le système de gouvernement responsable, toutes les décisions exécutives, sans égard à celui qui les prend, sont soumises à un vote des représentants élus)/
submitted by Indominus_Khanum to French [link] [comments]

my love story

je souhaite à personne ce que je vais vous raconter
bonsoir à tous le monde je vais vous raconter ma petite histoire assez peu intéressante mais j’avais envie de la partager aux autres :
pourquoi je ne me suis jamais mis en couple depuis mes 12 ans (j’en ai 16 et bientôt 17) ?
je ne dirais pas le prénom de cette fille ni autre information pourrant la reconnaître.
tout commence quand j’étais au collège en classe de 5ème, et comme à peu près tout le monde à ce moment on avait pour la plus part un téléphone avec des réseaux du type snap insta ou fb
un beau jour une fille s’abonne à moi et ayant peu d’abonnés je vais voir son profil et la c’est presque le coup de foudre
mais de suite dans sa bio je vois qu’elle vie aux alentours de Lyon
je la trouve exceptionnellement belle, la première fois que je « rencontre » une personne aussi belle (a savoir que moi à 12 je me basais plus sur le physique et sur le mental)
je dirais que environ 1 semaine après l’avoir follow back je vois qu’elle m’envoie un message
donc on continue à parler pendant 1-2 mois je dirais et on se met en « couple » virtuellement je dirais car on ne s’étais jamais appeler ou facetime
on arrête de se parler sans trop de raison au bout d’un an de messages dont je suis fou amoureux et j’insiste sur le mot fou
on se reparle de temps en temps en 4 eme puis en 3 eme et a chaque fois on se reparle plus malgré mon envie folle de lui parler. J’étais aussi vraiment timide alors j’hésitais a lui envoyer un message par peur de la déranger ou de l’ennuyer
et vous me direz mais c’est débile ce que tu dis ! tu ne vas pas embêter qqn en voulant simplement lui parler ! mais je vous assure que quand on est follement amoureux(se) d’une personne qu’on a jamais vu etc on a peur de faire une bêtise
je démange sur les alentours de bordeaux donc je m’éloigne encore plus d’elle - mes parents ou ma soeur n’ont pas la connaissance de cette fille et sa famille de même pour moi.
arrive l’année scolaire de seconde et j’essaie de lui parler de plus en plus pour rester en contact et essayer de sortir avec elle
l’année se termine et on entame tout juste les grandes vacances ! Je lui parle beaucoup elle me parle moins
moment cruciale puisque ont a prévu de se rencontrer pour la première fois depuis 4 ans d’attente derrière un écran
je lui donne rdv sur une grande plage devant un casino à Biarritz , la météo n’est pas avec nous on va se réfugier sous un petit arbre sous nos téléphones et on prend 2-3 photos puis l’heure viens pour elle de rentrer au camping
2 jours plus tard (toujours en vacances) je vais à son camping et puis on reste pas loin de 2 h ensemble et je trouve ça trop court. on refais des photos on parle de tout et de rien.
viens le moment pour elle de repartir chez elle a côté de Lyon je n’ose pas lui faire de câlin ou de l’embrasser alors que j’en meurt d’envie et d’impatience depuis 5 ans
ça y est elle est partie et je luis juste fait une simple bise.
je rentre chez moi et je reste stoïque face à ma famille c’est le soir je vais me coucher et je ne cesse de pleurer
je pleure pendant 3 semaines tous les soirs et j’en pleure actuellement au moment où j’écris tout ça
à peu près 1 mois après s’être rencontré sur une plage elle stop tous contact avec moi... elle commence par me bloquer sur snap (ça efface toute les conversations) je ne comprend pas pourquoi elle réagis comme ça elle continue sur insta mais à chaque fois que je lui demande de me débloquer elle essaie de m’embrouiller
et je finis par céder face à ses réactions à droite à gauche donc je lui dis clairement que tu m’as trop fais souffrir a me faire espéré une telle aventure que je pensais réel je lui dis que je ne veux plus qu’elle me parle pcq je voulais essayer d’oublier tout ça mais impossible elle continue et ne s’arrête pas
aujourd’hui encore elle est revenu me parler et à chaque message que je reçois d’elle une larme tombée je me dis mais pourquoi tu n’as pas essayer de l’embrasser.
je n’arrive toujours pas à tourner la page puisque à chaque fois que je vois sa tête sur l’icône de profil je la trouve beaucoup trop belle.
si jamais tu lis ceci sache que je t’aime toujours et que cela n’as pas changer depuis 5 ans. Je t’aime du plus profond de mon âme.
voilà mon petit thread est terminé j’espère c’était pas trop long et que ça vous a plus
submitted by Paralax51 to love [link] [comments]

[Correction] Texte de 400 mots sur la ville de Lisbonne.

Hi there, it's me again!
This time I've had to write an essay about my city, Lisbon. It's supposed to be written in a way that makes people want to come and visit it, like a tourist guide.
Besides the usual correction, I need some extra help. On one hand, I ended up repeating the word "Lisbonne" and the expression "la ville" way too much, but I don't really know how to solve this problem. On the other hand, I feel like my paragraphs aren't connected very well. I hope you can give me some advice on how to deal with these two issues!
Here it goes: EDIT: Already includes the corrections made by Nerfav
Lisbonne, aussi appelée la ville aux sept collines, est la capitale et la plus grande ville du Portugal. Située sur la rive droite de l’estuaire du Tage, elle est aussi la capitale la plus occidentale d’Europe, sur la côte de l’océan Atlantique. Grâce à son climat méditerranéen, la ville se visite agréablement tout au long de l'année.
Comprenant l'Empire romain, la conquête musulmane et la reconquête chrétienne, son histoire est sûrement digne d'être connue par tous ceux intéressés par le sujet. En effet, Lisbonne l’affiche fièrement dans ses églises, ses musées et d’autres monuments. En outre, c'est une ville culturellement riche où de nombreux festivals de cinéma se déroulent toute l'année, particulièrement ceux du théâtre São Jorge. Elle a aussi divers festivals de musique qui se déroulent pendant l'été, notamment Outjazz, une initiative de concerts de jazz en plein air, et le spectaculaire Rock in Rio.
Lisbonne est principalement connue pour ses plages de sable blanc où les touristes peuvent jouir du soleil et des eaux de l'océan Atlantique. Plein d’espaces verts comme le jardin botanique d’Ajuda et le parc de Monsanto, un des parcs urbains les plus grands d’Europe, elle est aussi une ville idéale pour les amoureux de la nature
Le football est le sport le plus populaire à Lisbonne, dont ses fans peuvent regarder un match dans l'un de ses trois stades. Les visiteurs passionnés de sport peuvent également se livrer au vélo, au golf et aux activités nautiques.
Lisbonne a beaucoup à offrir aux accrocs de la mode et du shopping car elle compte le plus grand centre commercial de la péninsule ibérique, le Dolce Vita Tejo. En outre, son centre historique a des grandes avenues commerçantes, comme l’Avenida da Liberdade, où se trouvent les magasins les plus chers.
La ville a une vie nocturne animée avec de nombreux bars, clubs et discothèques ouverts jusqu'à l'aube, et même un casino. Partout, il y a des cafés et restaurants à prix modiques proposant une cuisine locale savoureuse à base de poisson frais et de douceurs conventuelles.
Il est très facile de se déplacer à Lisbonne, car la ville dispose d'un réseau de bus moderne et pratique. De plus, son métro est un des plus intéressants et beaux d'Europe par la décoration et les expositions d'art contemporain de ses gares. Il y a des taxis partout, et plus récemment quelques tuk-tuk ont été importés pour promener les touristes.
submitted by Alastiana to frenchhelp [link] [comments]

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The casino building is fabulous, a beautiful castle (but not as pretty as the original casino that got burned down). But when you go in, you'll find a grotty casino that will want to make you run out as fast as you can. CASINO DE LA PLAGE - Soulac-sur-Mer 33780 - 1, avenue El Burgo de Osma Casino : Face à l'océan, Le Casino de la Plage vous accueille pour déjeuner, dîner, danser,... Casino 'La Plage': Alleen van buiten al een prachtig gebouw - Bekijk 170 reizigersbeoordelingen, 17 onthullende foto's en goede aanbiedingen voor Arcachon, Frankrijk, op Tripadvisor. La magie continue puisque le casino de Valras Plage dispose d’un restaurant attitré baptisé l’Elysée Club, doté d’une terrasse et d’une carte de mets délicieux. Vous retrouverez une cuisine de type traditionnelle tout à fait adaptée à l’estomac et aux attentes des joueurs. Pendant vos vacances, songez à visiter la commune de Soulac-Sur-Mer et profitez de moments agréables au Casino de la Plage situé face à la mer au 1 Ave El Burgo de Osma 33780 Soulac-sur-Mer. Vous pouvez joindre les responsables du casino en appelant le 05 56 09 51 00. CASINO DE LA PLAGE, société anonyme à conseil d'administration est active depuis 50 ans. Implantée à SOULAC-SUR-MER (33780), elle est spécialisée dans le secteur d'activité de l'organisation de jeux de hasard et d'argent. Son effectif est compris entre 10 et 19 salariés. Le casino de Soulac situé à la pointe du Médoc propose des machines à sous, une table de black-jack et de boule. Découvrez son bar lounge et sa discothèque. Casino 'La Plage' 170 beoordelingen. Nr. 14 van 18 dingen om te doen in Arcachon. Casino's. Er zijn helaas geen tours en activiteiten beschikbaar om online te boeken op de data die u heeft geselecteerd. Kies een andere datum. Casino 'La Plage' 170 beoordelingen. Le casino est idéalement placé sur le Boulevard de la Plage et reste accessible en empruntant la D650. Gamme de jeux Le casino vous propose de découvrir les moindres recoins de son parc de plus de 100 machines à sous, dont 25 machines à rouleaux, 42 machines à rouleaux vidéo, et 8 machines de vidéo poker.

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